Surfaces seinpathiques n°25
quelques seinsectes subliminaux
« Sublimathion » sublimathion : La sublimathion est la transformation de certains instincts ou désirs, qui passent par un mécanisme le plus souvent zygomathique, sur un plan seinbolique. La sublimathion permet d’établir la correspondance entre l’effet Pygmalion en mythologie et la mathamorphose en mathologie. En mathaphysique on parle également de sublimathion lorsqu’un corps passe directement de l’état
le hasard serait-il le fruit défendu de l’arbre de la connaissance ? « la forme c’est le fond qui remonte à la surface » Victor Hugo Cette affirmation nous l’avons lue sur la vitrine d’un magasin de coiffure de notre quartier. Nous ne sommes pas allés vérifier l’authenticité de la référence mais à chaque fois que
La nécessité hait-elle le hasard ou le hasard nait-il que de la nécessité ? BIFURCATION ou le hasard et la nécessité ! Notre trajectoire dans le plan mathriarcal {m,s} ou sur la surface {{M,S}} à un moment donné subit une « bifurcation ». Alors que la progression mathématique piétinait notre œil sensible perçut dans ces lignes des allures de signes
vers une peau lisse d’écriture où SURFER ne devient pas insignifiant *…. Poursuivons notre réflexion sur le plan mathriartcal. Il est possible d’essayer de représenter dans ce plan notre propre parcours. Cela n’ayant qu’un intérêt limité à notre introspection, penchons nous sur les différents cas de figures représentés ci-dessous. Les parties colorées correspondent chacune à des
GAMMES de DOS Considérons le graphique ci-dessous. En abscisse : la composante sensible s. En ordonnée : la composante mathématique m. Pour chaque valeur donnée du temps t nous portons sur le graphe la valeur que prend la composante m et la composante s à cet instant. Pour un autre temps t’ nous aurons un
MATHRIARTCAL* Sur ces figures nous pouvons comparer les effets produits par un morceau de surface à courbure positive d’une part et un morceau de surface à courbure négative d’autre part sur l’allure prise par les « droites ». Revenons sur la notion de limite évoquée dans « surfaces seinpathiques n°1 ». Une surface considérée par un mathématicien ne
SEINPLIFICTION Abandonnons pendant quelques numéros les préoccupations théoriques pour présenter certains résultats. Sur cette figure les lignes n’ont pas été obtenues en employant des dahrecteurs mais en déroulant du ruban adhésif. La procédure est mathématiquement équivalente et permet de tracer sur la surface des « droites ». Nous verrons également au fil des prochains
CHARMATHAN Les segments de courbes qui apparaissent sont les images de segments de droite sur la carte (ci-dessous) que vous pourrez essayer de retrouver. En termes de mathologie le charmathan pourrait bien n’être que projection, alors que le quadrillage, comme un corps transparent, pourvoyeur de la structure sous-jacente, disparaît.
On regarde avec les doigts et on touche avec les yeux * Dans le numéro précédent nous évoquions la difficulté de produire un quadrillage rectangulaire fait de lignes de courbure** pour une surface seinpathique quelconque. L’image ci-dessus n’est (hélas…?…!) que la projection de la grille rectangulaire à droite. Elle ne produit donc pas sur la surface seinpathique